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Que sont les sciences participatives ?

Les sciences participatives permettent à tous les curieux de la nature, du débutant à l’expérimenté, de contribuer à la recherche sur la biodiversité en fournissant aux scientifiques un grand nombre de données de terrain.

Sciences faites par des non-professionnels

Au-delà de la simple définition « sciences faites par des non-professionnels », l’Institut de formation et de recherche en éducation à l’environnement (Ifrée) distingue 3 catégories de programmes participatifs selon leurs objectifs, permettant de mieux comprendre ce que sont réellement les Sciences Participatives.

participatives
Les bases de données colaboratives

Il s’agit de projet d’inventaires et de signalements destinés aux amateurs sachant identifier les taxons observés. Les débutants y sont les bienvenus. L’objet principal est de partager de la connaissance, éventuellement mobilisable a posteriori dans unprojet de recherche ou dans un objectif de conservation.

Les projets adossés à des programmes de recherche

L’objet et les conditions de collecte des données sont alors très précisément définis, garantissant ainsi l’exploitabilité de ces dernières. La nature du protocole va contraindre le type de public participant, mais cela peut souvent inclure des débutants. Les données collectées peuvent être ensuite versées dans lesprojets de bases de données collaboratives.

Les programmes à visée éducative ou de gestion/conservation

On trouve là divers programmes de sensibilisation à la démarche scientifique ou aux enjeux de conservation. Certains d’entre eux n’impliquent pas de collecte d’information centralisée, leur objectif étant d’abord de permettre aux participants d’acquérir des connaissances.

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Trois exemples de programmes participatifs en Outre-mer

Un projet original en Nouvelle-Calédonie

Un groupe de 7 plongeuses entre 60 et 75 ans ont collaboré avec les chercheurs de l’Université de Nouvelle-Calédonie pour étudier un serpent de mer méconnu, l’Hydrophis major, dans la baie des Citrons, au sud de Nouméa.

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objet de l’étude

Suivi des populations d’oiseaux communs par échantillonnages ponctuels simples le long de parcours prédéfinis

acteur

Groupe d’Etude et de Protection des Oiseaux de Guyane (GEPOG)

public visé

Ornithologues à titre bénévole ou dans un cadre professionnels (Agents de zones protégées)

Titre science participative n°2

Un groupe de 7 plongeuses entre 60 et 75 ans ont collaboré avec les chercheurs de l’Université de Nouvelle-Calédonie pour étudier un serpent de mer méconnu, l’Hydrophis major, dans la baie des Citrons, au sud de Nouméa.

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objet de l’étude

Suivi des populations d’oiseaux communs par échantillonnages ponctuels simples le long de parcours prédéfinis

acteur

Groupe d’Etude et de Protection des Oiseaux de Guyane (GEPOG)

public visé

Ornithologues à titre bénévole ou dans un cadre professionnels (Agents de zones protégées)

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