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St-Pierre-et-Miquelon, des eaux très riches en biodiversité

Un climat subarctique, froid et humide

Au sud de Terre Neuve (Canada), cet archipel est constitué de 3 îles principales : Saint-Pierre, Langlade, Miquelon. Il se situe à la confluence du courant froid du Labrador et des eaux plus chaudes du Gulf Stream, offrant des eaux riches en biodiversité. La proximité de l’océan influence les écosystèmes terrestres : dunes, prairies côtières, lagunes, marais. On y trouve également la seule forêt boréale française.    

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242
km2
Superficie terrestre
12300
km2
Superficie marine
6274
habitants en 2017
240
m
point culminant Morne de la Grande Montagne

A la découverte des endroits emblématiques

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Le grand barachois

Cette lagune de 1 000 ha est bordée de marais et communique avec la mer par un goulet au sud-est.

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Titre image verticale

Le plan d’eau et les marais qui le bordent sont d’une importante richesse tant faunistique que floristique

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Le grand barachois

Cette lagune de 1 000 ha est bordée de marais et communique avec la mer par un goulet au sud-est.

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Le grand barachois

Cette lagune de 1 000 ha est bordée de marais et communique avec la mer par un goulet au sud-est.

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Le plan d’eau et les marais qui le bordent sont d’une importante richesse tant faunistique que floristique

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Le grand barachois

Cette lagune de 1 000 ha est bordée de marais et communique avec la mer par un goulet au sud-est.

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Le grand barachois

Cette lagune de 1 000 ha est bordée de marais et communique avec la mer par un goulet au sud-est.

Lieux d’intérêt
10%
des récifs coralliens du monde sont situés dans les Outre-mer français.
en savoir plus
Chelonia mydas ©  B. Guichard

Cerf de
Virginie

Peu de mammifères terrestres sont indigènes de l’archipel. Le Cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) a été introduit à Miquelon et Langlade en 1953 pour la chasse. Ses populations dégradent fortement la forêt boréale.

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Espèce numero deux

Peu de mammifères terrestres sont indigènes de l’archipel. Le Cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) a été introduit à Miquelon et Langlade en 1953 pour la chasse. Ses populations dégradent fortement la forêt boréale.

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Troisième espèce

Peu de mammifères terrestres sont indigènes de l’archipel. Le Cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) a été introduit à Miquelon et Langlade en 1953 pour la chasse. Ses populations dégradent fortement la forêt boréale.

espèces

Histoire & temps forts

1535

Prise de possession française des îles par Jacques Cartier

17eme siècle

Première installation permanente des pêcheurs bretons, normands et basques

18eme siècle

Fermeture naturelle de l’isthme

1866

Première étude publiée sur la flore de Saint-Pierre et Miquelon

1889

Introduction volontaire du Lièvre d’Amérique pour la chasse

1985

disparition de l’archipel du Lagopède des saules, oiseau caractéristique des forêts boréales

2007

Création du Conseil Scientifique Territorial du Patrimoine Naturel (CSTPN) et projet de réserve naturelle nationale du Grand Colombier

Les marais tourbeux et les tourbières

Ces zones humides occupent des superficies importantes. Caractérisées par la formation et l’accumulation de tourbe, parfois sur plusieurs mètres d’épaisseur, elles présentent des groupements végétaux remarquables et variés, parmi lesquelles on trouve des sphaignes, des mousses, ainsi que des orchidées.  

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Ecosysteme numero deux et son paragraphe

Ces zones humides occupent des superficies importantes. Caractérisées par la formation et l’accumulation de tourbe, parfois sur plusieurs mètres d’épaisseur, elles présentent des groupements végétaux remarquables et variés, parmi lesquelles on trouve des sphaignes, des mousses, ainsi que des orchidées.  

Chelonia mydas ©  B. Guichard

Troisieme ecosysteme et son paragraphe

Ces zones humides occupent des superficies importantes. Caractérisées par la formation et l’accumulation de tourbe, parfois sur plusieurs mètres d’épaisseur, elles présentent des groupements végétaux remarquables et variés, parmi lesquelles on trouve des sphaignes, des mousses, ainsi que des orchidées.  

Chelonia mydas ©  B. Guichard
écosystème
Chelonia mydas ©  B. Guichard
10%
des récifs coralliens du monde sont situés dans les Outre-mer français.
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Les ressources naturelles : un enjeu important

Le territoire est pour le moment le seul d’outre-mer français à ne disposer d’aucun dispositif de protection règlementaire.Les espèces exotiques envahissantes, en particulier les mammifères terrestres qui dégradent la forêt mais également des espèces végétales telles que les Renouées ou des espèces marines comme le Crabe vert, ont des impacts potentiellement préoccupants.  La chasse, bien que permettant la régulation des mammifères introduits, est une question délicate, et freine l’augmentation des populations de plusieurs espèces d’oiseaux dont l’Eider à duvet.  

L’économie de l’île a été victime de la surpêche et de l’effondrement des populations de morue de Terre Neuve.
Un projet de création de la réserve naturelle des Grand et Petit Colombier a été lancé en 2007, permettant de préserver ce site de nidification remarquable. Malgré un avis favorable du Conseil national de protection de la nature, ce projet a été mal perçu par les populations locales craignant des contraintes sur leurs activités traditionnelles, c’est pourquoi il n’a pour le moment pas abouti.

enjeux
écogeste suivant
Lutter contre l’introduction d’espèces exothiques envahissantes